Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

ville de vanves - Page 1266

  • CENTENAIRE DE LA GUERRE 1914-18 A VANVES : 5 - La difficile gestion d’un budget mis à mal par l’état de guerre

    Le Blog Vanves Au Quotidien rappelle au fil de chaque week-end (d’ici le 11 Novembre) et de l’actualité qui marque l’année, les événements qui se sont déroulés voilà cent ans. Cet état de guerre n’a pas facilité la gestion de la commune sur le plan budgétaire et financier en rendant de plus en plus difficile le bouclage du budget communal. Les budgets (BP) votés par la ville entre 1914 et 1919 sont passés  de 723 737 Frs (de l’époque) à  972 965 frs, sans compter les budgets supplémentaires (BS). Selon un premier bilan dressé en 1919, les dépenses extraordinaires de la guerre avaient augmenté considérablement la dette communale qui s’élevait à 1 374 144 frs avant la guerre, et le déficit qui se montait à 79 000 frs. Pour y arriver la commune a dû émettre au total pour 1 090 000 frs bons communaux dont 390 000 frs destinés à faire face à des dépenses de guerre, 100 000 frs pour des dépenses courantes et 600 000 frs non encore employés.   

    Le rapport sur le Compte Administratif de 1914 examiné par le Conseil Municipal de 30 Mai 1915 montrait que la commune a pu supporter de lourdes charges financières durant les 5 premiers mois de la guerre, notamment grâce à la création d’un compte spécial. Ainsi le Bureau de bienfaisance (ancêtre du CCAS) a versés 10 000 Frs (de l’époque) aux familles des mobilisés avant même les instructions du pouvoir central, un fonds spécial totalisant 18 236 frs était constitué le 28 Novembre 1914 grâce à des subventions de l’Etat, du département de la Seine et des souscriptions de particuliers pour venir en aide aux chômeurs. En 1915, le conseil municipal commençait véritablement à rencontrer des difficultés à établir et à boucler ses budgets (BP et BS)  selon son rapporteur qui constatait que « les événements que nous traversons jettent un, trouble profond dans toutes les branches administratives de la vie de ce pays. Les divers échelons administratifs avec lesquels nous sommes en relation d’affaire, à quelque degré de la hiérarchie qu’il appartiennent, se ressentent des exigences de la défense nationale. Ils sont plus ou moins désorganisés, de sorte qu’il nous a été difficile de rassembler les matériaux nécessaires à l’établissement d’un BS ».

    Les budgets se montent à 581 254 Frs en 1915,  à 543 134 frs en 1916 avec une contribution à la caisse des écoles justifiée par les nécessités auxquelles elle doit face et qui résulte de l’état de guerre (achat et distribution de chaussures, relèvement de salaires des femmes de services dans les groupes scolaires… ). « Etant donné la dure et longue période de guerre que nous traversons, nous étions en droit d’avoir des craintes sur les fâcheuses répercussions de cet état de chose pouvait avoir sur notre budget qui a eu à faire face à de lourdes tâches. Jusqu’ici, ses craintes ne se sont pas réalisés, grâce à la sagesse de notre administration municipale et à la vigilante activité du Maire qui surent par la création des œuvres  - et notamment de l’œuvre des Prisonniers de guerre et des combattants de Vanves  le 27 Novembre 1915, pour récolter des dons pour aider ces soldats en leur envoyant des colis et leurs familles  par des secours -  alléger les finances communales de la plupart de nos charges » expliquait M.Richard,  rapporteur du budget, le 27 Mai 1916 en constatant, tout comme le 30 Novembre 1916 lors du vote du BS 1917,  une réduction  très sensible, à cause de l’état de guerre, des recettes :  Taxes spéciales l’octroi – qui existait encore aux entrées de Vanves – qui ne rapportent plus que 61 000 € au lieu de135 000 Frs,  produits des impositions extraordinaires, avec des  retards ou  des impayés de loyers… Ce qui n’empêche pas nos élus de maintenir  intégralement, certains crédits « de façon à ce que la guerre terminée, la vie de la commune puisse reprendre normalement » : Le Conseil municipal décide (31 Octobre 1916) du « goudronnage » des cours d’écoles et de travaux de viabilité rue Falret,  du pavage de trottoirs, de l’augmentation du traitement du personnel communal, de l’acquisition définitive du terrain pour aménager le square Jarrousse (30 Décembre 1916). « Dans ce grand naufrage de tant de projets d’avenir, partout élaborés avec tant de soin, du moins nous reste t-il, ici, la consolation que les nôtres n’ont pas sombré. Ils sont retardés. Sans doute. Mais ils se réaliseront » constate le rapporteur lors du vote du budget 1918

    Il vote  un « budget d’attente »  pour 1917 de 680 965 frs,  comme en 1915 et 1916,  et prévoit des crédits  - pour donner une idée des charges supportées  - de 14 000 frs pour l’indemnité de cherté de vie, 2500 frs pour la soupe populaire, 2000 frs pour le fonds municipal de chômage, 50 000  pour les Ouvroirs, 5000 pour l’œuvre des prisonniers de guerre et des combattants, 100 000 frs pour les secours aux réfugiés, une subvention de 1000 frs au bureau de bienfaisance pour secours aux permissionnaires nécessiteux auxquels s’ajouteront d’autres dépenses en cours d’années, comme par exemple  25 000 frs pour permettre au Comité Municipal d’approvisionnement de constituer un stocks de précaution de denrées alimentaires. En, 1918, le budget s’élève à 910 965 frs, et en 1919 à 972 965 frs, voté après la fin de la guerre le 23 Novembre 1918 : « En raison des événements de guerre qui touchent heureusement à leurs fins, et les changements apportés par une législation nouvelle et inachevée dans la prescription de certains revenus communaux, il n’a pas été possible de faire un travail d’ensemble aussi bien tenu qu’il l’était antérieurement à 1914. C’est une fois encore un budget d’attente aussi bien établi que les circonstances de fait et de temps le permettent » explique le rapporteur M.Richard 

    Evidemment, l’état de guerre a mis le budget communal en déficit comme le constate le Conseil Municipal du 31 Octobre 1916. « Ce qui est la règle pour les budgets de guerre » expliquait Aristide Duru  qui a du faire alors appel aux bons communaux pour équilibrer ses budgets, pour 130 000 frs en 1915, 84 000 frs pour le BP 1916 et 95 000 pour le BS 1916, 110 000 frs pour le BP 1917. « Malgré le chiffre élevé pour l’équilibre de nos budgets, il a été possible jusqu’à présent de se passer  des bons » constatait le rapporteur Fournet. La ville émettra encore cette année là pour 220 000 frs de bons communaux afin de faire face à un remboursement d’un prêt de 100 000 frs consentis à  la société ECFM pour permettre l’exploitation de gaz et qui a donné lieu au paiement d’une première annuité de 7430frs à la ville de Paris. « Il n’est pas douteux qu’un emprunt de consolidation sera nécessaire après la guerre pour faire face aux dettes que nous contractons  en ce moment. Jusqu’à présent la municipalité a pu éviter, de faire appel aux bons, sauf ceux nécessités par ce prêt de 100 000 frs ». Puis 35 000 frs de bons pour équilibrer le BS 1917 (de 612 955 frs), 340 000 frs pour équilibrer le budget 1918… soit 230 000 frs constate le rapporteur du budget lors de l’examen du compte administratif 1917 le 1er Juin 1918. « La guerre continue malheureusement à  influer fâcheusement sur la situation des finances de la commune, la dette flottante s’accroît chaque jour. On ne pourra en connaître le chiffe exact qu’à la fin des hostilités ». 7500 frs de bons communaux sont émis de nouveau en Août 1918 pour équilibrer le BS 1918 de 940 200 frs. Ainsi que 600 000 frs pour équilibrer le budget 1919, et 290 000 frs pour équilibrer le BS 1919, soit 890000 frs au total.

    A Suivre :  La bataille contre la pénurie de charbon

  • MATCH DE RENTREE POUR L’EQUIPE DE BASKET AVIATORS VANVES GPSO : "Tirer notre épingle du jeu dans l’espoir de finir parmi les 5 premiers est l’objectif" pour Laurent Delseaux

    Jusqu’à Jeudi soir, l’équipe première de basket, Aviators Vanves GPSO n’était pas sûr de rencontrer l’équipe de Cergy Pontoise ce soir à 20H parce que la FFB  (Fédération Française de Basket) aurait pu décider de passer la Pro B à 18 équipes, ce qui aurait entraîné la promotion de 2 clubs de Nat 1 en Pro B pour la saison à venir. Comme le  championnat de France en Nat.1 est constitué en principe de 18 équipes, alors qu’il n’y en a, de fait, que 16,  2 clubs de Nat.2 auraient pu prétendre à la montée en nat.1 directement : Cergy Pontoise et Caen. 2 clubs que Vanves rencontrera pour ce début de championnat ce soir à domicile pour Cergy,  et le second le 27 septembre à Caen. L’équipe de Vanves est restée jusqu’à Jeudi soir du match dans l’expertative alors que l’ensemble de ces basketteurs se sont entraînés – tous les soirs de la semaine de 20H à 22H –  depuis le 6 Août dernier, et bien préparés par Sylvain Mousseau, l’entraineur et Denis Rey, son assistant, mettant quelque peu à cran les joueurs comme le reconnaissait Laurent Delseaux, président de la section basket du Stade de Vanves que le Blog Vanves au quotidien a rencontré juste avant ce premier match. Une équipe en Nat.2 (N2) depuis 5 ans après 2 ans en Nat.1 (N1).

    Vanves au Quotidien – Comment se présente cettre équipe pour la saison 2014-15 ? 

    Laurent Delseaux : « Nous avons 3 nouvelles recrues, un meneur de jeu, Antoine Sauzeau venant de Caen, un ailier avec Malik Sibile venant d’Angers  et à l’intérieur Audrius Maneikis venant de l’Aurore Vitré. Nous avons repris les entraînements depuis le 6 Août avec 9 matchs amicaux qui montrent bien que l’équipe semble un peu plus armée dans la construction de jeu qu’elle ne l’était la saison dernière, peu être un peu inférieure physiquement. Mais au niveau basket et qualité de jeu, elle sera bien meilleure de ce qu’elle était l’année dernière. Cette équipe est un peu rajeunie puisque nous avons 2 recrues de 21 et 23 ans.   

    VAQ - Dans quelle poule vous êtes-vous retrouvé du championnat en N2 ?

    L.D. : « Nous sommes dans la poule C, c'est-à-dire la poule de l’Ouest, sachant que la N2 est constituée de 4 poules, Nord Ouest,Nord Est, Sud Ouest et Sud Est. Dans cette poule, nous devons rencontrer Cergy Pontoise,  Caen qui  raté sa montée en N1 la saison dernière par le biais des Play Off, alors qu’elle n’avait perdu qu’un seul match dans la saison. Mais le principe des Plays Off n’oblige pas spécialement le premier du championnat de la saison régulière d’accéder au niveau supérieur. Caen a toujours d’énormes ambitions avec une équipe plus forte que la saison dernière, épaulé par un grand basketteur français, Nicolas Datoune  qui l’encourage à accéder rapidement en N1, Pro B, voire pro A car ils ont énormément d’ambition. Nous rencontrons des clubs qui ont des budgets quasiment le double par rapport aux nôtres, ce qui leur permet d’avoir des joueurs de très hauts niveaux venant de Pro A et Pro B, comme Le Revant, Sceaux que l’on a rencontré en match amical voilà un mois où nous les avons battu de quelques points, Lorient qui a de grandes ambitions, Brest qui sera notre plus grand déplacement avec un équipe qui vient de N1, Pornic, Carquefou, Cherbourg… Les équipes qui sont considérées, comme les meilleurs du championnat sont Caen, Vitré, Lorient. Mais ce championnat va nous convenir véritablement parce que si l’année dernière nous avons perdu contre les plus petites équipes, cette année nous nous retrouvons dans un championnat très homogène avec des équipes de qualité égale. Et dans ces matchs, Aviators Vanves GPSO est toujours prêt à jouer ces grandes rencontres plus facilement que contre les petits clubs. Elle devrait tirer son épingle du jeu dans l’espoir de finir dans les 5 premiers de ce championnat. A nous de faire le maximum, et les joueurs sont prêts aujourd’hui à donner tout ce qu’ils ont    

    VAQ - Quelles leçons tirez-vous de la saison passée pour aborder cette nouvelle saison ?

    L.D. : «  Elle a été marquée par ce  manque d’envie de gagner  des matchs à l’extérieur contre des petits équipes, car on a perdu chez les 3 plus petites équipes. Peut être aussi parce qu’on n’avait pas non plus l’effectif que l’on pensait avoir avec  des recrutements qui n’ont pas forcément fait la valeur de l’équipe. Nous avions un poste 5 qui malheureusement n’a pas porté tout ce que l’on espérait de lui. Mais dans le recrutement, on fait des essais de joueurs en  pré-saison, et puis quelqu’un qui avait vraiment des valeurs physiques, ne nous les  a pas apportés, sans compter les blessures, de Vincent Dupont, notre meilleur meneur depuis de longues dates, qui n’a repris les matches que vers Noël. Nous avions vraiment démarré notre championnat l’année dernière en difficulté par un effectif réduit qui n’était pas à la hauteur pour tenir les objectifs que l’on s’était donné, en envisageant de faire les Plays Off. Mais on s’est vite aperçu, dans la première phase de championnat, que  cela aurait été compliqué. Même en Janvier/Février, on s’est battu pour ne pas être relégué. On a eu chaud et peur. Mais le voyage que nous avons fait à Mayotte en Coupe de France, a redonné un certain dynamisme à cette équipe parce que nous avons vécu prés d’une semaine ensemble, ce qui est toujours excellent pour la cohésion du groupe. A partir de là, nous étions reparti, et on a vraiment battu des équipes que l’on ne pensait pas faire tomber

    VAQ - Quels objectifs pour 2015 ?

    L.D. : « Tout au moins être dans les 5 premiers. Le Play Off, on n’y croit pas vraiment. Rappelons que les 2 premiers de chaque poule jouent les Plays Off pour accéder à la N1. On regrette tous dans ce championnat de N2 qu’en fait, ce n’est pas parce que l’on termine premier d’une saison régulière, après 26 matchs, que l’on peut monter. Et en N2, on ne monte pas automatiquement puisqu’il va falloir rencontrer un deuxième d’une autre. Et là, c’est sur 2 matchs gagnants. Et les deux vainqueurs du Play Off accédent en N1. Après c’est sur un plateau que se joue le titre de champion de France de N2 avec les 4 équipes sortantes vainqueurs de ce play Off. C’est un système que beaucoup critiquent parce que l’équipe qui fait une saison régulière ne monte pas automatiquement comme ce fut le cas pour Caen.

    VAQ - Evoluer dans une telle division ne devient il pas difficile pour une équipe et un club comme celui de Vanves, en ces temps de disette budgétaire et financière ?

    L.D. : « On fait parti des plus petits budgets du championnat de N2. Nous avons les ambitions, mais on reste conscient que l’on n’ira pas au-delà si le budget ne suit pas, bien évidemment. Le Stade de Vanves y participe beaucoup, ainsi que la ville. Maintenant, nous comptons sur les partenaires privés qu’il va falloir aller chercher, et par le biais de la construction des Aviators. Mais voilà, depuis ans, nous n’avons pas forcément fait le nécessaire. On ne veut pas brûler les étapes, resté vigilant, veiller à ne pas s’endetter. Le projet est sorti, on a fait les fondations, l’idée est connue de tous, en sachant très bien où on veut aller. Maintenant à nous de construire et de monter en puissance, sans prendre de risque vis-à-vis de qui que ce soit. Sachant qu’en N1, il nous faut espérer avoir un  budget de 700 000 €. Et nous sommes vraiment en deça.    

    VAQ - Comment réagissez-vous lorsqu’on dit que l’on en fait trop pour cette équipe et ce club de basket ? 

    L.D. : « Je ne le prends pas pour une critique. C’est un constat pour certains. Mais c’est le haut niveau qui fait cela ! C’est pour cette raison que nous ne brûlerons pas les étapes. On peut aussi redevenir un club de loisirs ! Le Stade de Vanves Basket a une longue histoire en championnat, et on n’a pas envie de lâcher tout cela. Et on ne lâchera, on continuera à construire parce qu’on aura des partenaires privés. Et c’est à nous de construire et faire le nécessaire ! Avec GPSO aujourd’hui qui est une zone de 350 000 habitants avec un potentiel de jeunes sur lequel nous voulons travailler pour construire l’avenir des Aviators, et du basket de haut de niveau dans ce secteur. Car c’est le sport phare dans cette intercommunalité  

    VAQ- Comment préparez-vous justement  la relève au sein de cette section basket ?

    L.D. : « Nous avons en Junior, une équipe de championnat de France avec 2 joueurs qui s’entraînent tous les jours avec l’équipe première pour créer un vivier pour y accéder. Sachant que le basket rassemble 200 licenciés depuis l‘école de Basket (avec les mini-poussins à 6 ans), jusqu’aux seniors, avec un joueur de 85 ans, avec 12 équipes engagées en championnat départementaux pour les jeunes, régional pour l’une des 2 équipes juniors. Mais on est un peu coincé par le manque d’espace et de créneaux horaires pour accepter plus de licenciés

  • 12 COMMERCANTS ET ARTISANS DE VANVES ONT PARTICIPE A ECOS-DEFIS » EN PREAMBULE AU MOIS DU COMMERCE

    Le mois du Commerce qui commence ce soir par un lancement officiel à La Palestre, a déjà connu un pré-lancement avec la remise des labels « Eco-Défis » lundi soir à la Mairie de Vanves. Une opération initié par GPSO (Grand Paris Seine Ouest) dans le cadre du Programme local de prévention des déchets à l’attention des commerçants et des  artisans du territoire de cette Communauté d’agglomération (CA) : 119 artisans dont 12 vanvéens, sur 153 engagés, avaient été retenus par le Comité de Labellisation,  car ils avaient mis en place au moins trois actions concrètes pour limiter, trier et revaloriser les déchets en limitant la production de déchets dangereux, et en améliorant leur gestion, tout en remplaçant les plastiques et en diminuant le sur-emballage.  Ainsi un salon de coiffure propose des teintures végétales, un artisan fabrique des meubles à partir de fûts recyclés, une boulangerie sensibilise les enfants en leur offrant une friandise en échange de leurs sachets de bonbons vides…

    Une douzaine  de vanvéens y ont participé : Les Figurines de Paris (encadrement-vente-Galerie d’art), Menthe & Vilette (fleuriste), Coiffure R, La boucherie Pascal Boreau, la Fournée Vanvéenne (boulangerie), la coordonnerie du Plateau, Esthétic Center , Studio Pixels et Papillon, ARP (agencement bâtiment), Bati LP, le Garage des deux Places, Clair optique. Ils ont pratiquement tous menés une action de tri sélectif, de réemploi de matériel et réparation. Par contre Pascal Boreau a été le seul à mener une opération sur les emballages en utilisant le papier. Les Figurines de Paris et la la societé ARP ont mené le plus d’actions touchant aux emballages et la revalorisationc des déchets, à l’utilisation de sacs réutilisables et recyclables etc…. « L’objectif en 2015 est de viser 250 commerçants et artisans, 700 en 2016-17 » ont indiqué Bernard Gauducheau, maire deVanves et Vice Président de GPSO chargé du développement durable et Daniel Goupillat Président de la Chambre des Métiers ds Hauts de Seine (CMA 92) en insistant sur l’importance de l’attitude éco-citoyenne. « Réduire les déchets des artisans était un défi avec GPSO » a reconnu le président de la CMA92 en insistant sur l’importance du poids économique, du rôle de lien social mais aussi de sensibilisation au développement durable de la 1ére éco-entreprise de France : l’artisanat. Et cela malgré la conjoncture  morose. Le maire de Vanves a indiqué que GPSO s’était engagé depuis longtemps dans un programme de réduction des déchets avec l’objectif de réduire de 7% le tonnage d’ordure ménagéres d’ici 2015. Tout en constatant d’ailleurs que la production de déchets diminue alors que la population de GPSO augmente. D’où l’importance d’informer et de sensibiliser les administrés dont certains font encore preuve d’un manque de civisme avec ses dépôts sauvages…  dont certains « chiffonniers » profitent avec ces camionnettes qui tournent chaque mercredi soir dans les rues de Vanves à la veille du ramassage des encombrants.  Et de montrer l’exemple comme ses commerçants-artisans.    

    La plupart de ces écos-commerçants-artisans devraient participer à la 3éme édition du mois du Commerce dont le lancement officiel se déroulera ce soir à La Palestre. Si 100 commerçants avaient participé à l’édition 2012, et 135 en 2013, ils sont un peu moins, cette année avec 126 commerçants, artisans, entrepreneurs,  sans compter les commerçants du marché, une cinquantaine,  qui seront très présent à cette manifestation avec  autant d’ateliers et de  soirées que l’année dernière. Ce qui n’est pas mal pour une ville de 30 000 habitants étendus sur 150 ha, cette situation favorisant les échanges et les contacts, ainsi que la convivialité et la proximité qui sont les principes directeurs de cette manifestation. Avec quelques nouveautés : Un défilé de mode organisé par Vanv’En Poupe place de la République le 26 Septembre, pour son premier anniversaire, suivi d’un spectacle de Gospel à l’église Saint Remy. Une visite exceptionnelle du marché de Rungis le 17 Octobre qui célébre ses 40 ans organisé par le SIAVV, avec un départ de Vanves à 5H30 (et peut être une tête de Veau à 9H pour se requinquer). VAP and VIP devrait inaugurer son nouveau magasin boulevard du Lycée le 25 Septembre à 19H  avec un atelier « tout en vapeur ». Une soirée « Ligue des Champions » au restaurant Le Paris, entièrement re-looké, le 1er Octobre. La rencontre d’un duo musical et d’une cuisine aux saveurs asiatiques revisitées au restaurant Soan qui célébrera le premier anniversaire de son ouverture le 17 Octobre. Certains font déjà le plein comme la soirée musicale autour d’un bœuf bourguignon au restaurant « Chez les Filles » le 27 septembre, ou devraient attirer beaucoup de monde comme la soirée « Moules/frites et Chansons françaises » aux Platanes le le 4 Octobre. Espérons que, pour ces soirées, il restera de la place, pour permettre aux vanvéens  - qui s’y prennent à la dernière minute, il est vrai - de découvrir des restaurants qu’ils n’ont pas l’habitude de fréquenter, car l’année dernière, certains s’étaient plaints que des places soient réservées longtemps à l’avance…par des habitués ou des organisateurs.